Bouguedour, directeur au ministère de l’Agriculture et du développement rural (Madr), reconnaît que les prix actuellement pratiqués pour la viande locale sont des prix « plafond », mais rassure que le souci du ministère est de continuer de voir le citoyen approvisionné régulièrement en viande à des prix « corrects ».
Dans un entretien mardi avec l’Aps, le directeur des services vétérinaires a indiqué que le citoyen subit la désorganisation du marché local qui ne répond à aucune règle (...)
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Algérie - Agroalimentaire
Articles
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Approvisionner le citoyen en viande à des prix corrects
19 mars 2004, par Hassiba -
Raffinerie de sucre de Sidi Lakhdar (Khemis)
17 septembre 2004, par HassibaA la sortie du village Sidi Lakhdar (ex-Lavarande), à 7 km de la ville de Khemis, sur la route venant d’Alger, il faudrait encore continuer à ralentir et essayer de ne pas rater le bon tournant à droite qui mène à l’usine Sorasucre, filiale du groupe Enasucre.
C’est qu’aucune indication n’est là pour vous prévenir. Quant au traditionnel et géant panneau publicitaire que vous guettez désespérément, il faudra repasser un jour, lorsque l’entreprise sera en mesure d’inscrire pareille « (...) -
Le groupe ERIAD Sétif dans le pétrin
27 avril 2004, par HassibaLe groupe ERIAD Sétif, qui était dans un passé récent un des fleurons de l’industrie agroalimentaire du pays, est actuellement en proie à de nombreux et graves problèmes.
Le courant ne passe plus désormais entre le président directeur général du groupe et certains directeurs généraux des filiales ayant été « destitués » de la présidence du Conseil d’administration (CA), pour, nous dit-on, « mauvais résultats ». Le partenaire social qui exige pour sa part, dans sa plate-forme de (...) -
L’Algérie dans une position difficile
17 octobre 2004, par HassibaLa libéralisation des échanges agricoles dans les pays du pourtour méditerranéen (PPM) est, selon une analyse faite par Mouloud Hedir, ancien cadre au ministère du Commerce, « porteuse de grands dangers pour une grande partie des producteurs, de même que pour l’emploi et les équilibres de la balance commerciale agricole ».
Mouloud Hedir estime que, dans un tel contexte, il est évident que « les dispositions qui, dans les accords d’association, programment la question de l’ouverture des (...) -
L’agroalimentaire : appétit du privé et déconfiture du public
23 décembre 2004, par HassibaDans le discours qu’il a prononcé à l’ouverture des travaux de la 25e session du Conseil national économique et social (CNES), tenue début décembre, le chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia, a mis l’accent sur la situation dans laquelle se trouve aujourd’hui le secteur public de l’agroalimentaire : 70% de ses branches n’accaparent que 1% du marché.
En Algérie, l’agroalimentaire évolue dans un marché marqué par une distorsion dans la concurrence. Dans pareille situation, les gestionnaires (...) -
La libéralisation du marché des céréales en Algérie (II)
25 septembre 2004, par HassibaCette dynamique de la filière met en relief le « déclin relatif » de la phase agricole et l’importance croissante des phases en aval, c’est à dire la collecte, la transformation des importations et le marché mondial, la commercialisation et la consommation des blés et produits divers. En définitive la filière de blé du fait : des problèmes structurales liés à l’intensification de la production céréalière, de la prise en charge par l’état des besoins alimentaires essentiels de la (...)
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La FAO évalue la politique algérienne de développement rural
12 mars 2004, par nassimLa stratégie de développement rural en cours d’exécution en Algérie fait actuellement l’objet d’une évaluation de la part de l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), qui a dépêché cette semaine à Alger une mission d’experts internationaux.
"Cette mission aura à se prononcer sur la validité et le caractère opérationnel de la stratégie de développement rural durable élaborée" par les autorités algériennes, a expliqué jeudi Olivier Argenti, représentant (...) -
L’Algérie continue d’importer la tomate
11 décembre 2004, par HassibaLe volume de production en tomate fraîche demeure encore faible comparativement aux pays voisins, notamment la Tunisie et le Maroc.
La production du concentré de tomate et sa commercialisation à la fin des années 1990 a permis, selon M. Sari Mohamed, professeur à l’université de Annaba, d’économiser l’équivalent de 70 millions de dollars et le Trésor public et les collectivités locales ont bénéficié sous forme d’impôts et taxes de près de 1 milliard de DA. La filière de la tomate (...) -
L’ovin de l’Aïd El-Adha reste cher
8 janvier 2005, par HassibaÀ deux semaines de l’Aïd el-Adha, les bordures des axes autoroutiers de la capitale commencent d’ores et déjà à accueillir les troupeaux de moutons.
Chargé dans des camions et camionnettes, le cheptel, venu de l’intérieur du pays, arrive à la conquête de leurs futurs propriétaires. Le scénario auquel on a assisté l’année dernière se produit encore une fois en ce début 2005. Les mêmes faits et gestes des maquignons, les retrouvailles entre les producteurs et les chevillards, le contact (...) -
Importations frauduleuses du concentré de tomates en Algérie
18 septembre 2004, par HassibaAvec cette nouvelle affaire d’importations frauduleuses de double concentré de tomates d’Italie, le point de non-retour est atteint dans cette filière stratégique de l’agroalimentaire. Contraints de réagir à cause des risques latents de dépôt de bilan, les conserveurs algériens ont fait voler en éclats la loi du silence.
Elle pesait sur l’un des plus importants systèmes de fuite de capitaux et de blanchiment d’argent. Pris dans la tourmente des invendus devenus une régularité à chaque (...)